Le benchmark : un partage d’expériences au bénéfice du collectif
Communément réservé aux économistes et marketeurs en quête d’indicateurs de compétitivité, le benchmark fait son entrée dans la communication publique : 300 campagnes de communication et publications territoriales sont accessibles en ligne et disponibles sur abonnement à Cap’Com Plus. Elles sont une solide aide à la décision pour les choix que doivent faire les communicants publics dans leurs missions stratégiques. Revue des avantages en cinq points.
1. Décrypter tous les aspects d'une action de communication
Ce service est le fruit d’un important travail de recueil, d’analyse et de présentation des campagnes de communication publique et des publications territoriales. Chaque fiche présente tous les aspects de l'action de communication : contexte, stratégie, calendrier, outils, prestataires, coût, évaluation. Elle donne à voir les visuels, les supports numériques et les vidéos qui ont été réalisés. Par projection, ces fiches détaillées permettent de faire le point sur les critères utiles à dégager pour ses propres actions.
Le benchmark de la communication publique et territoriale vient de faire l’objet d’un lifting important : une sélection exigeante des ressources les plus pertinentes et actuelles, une nouvelle présentation plus lisible des fiches de campagne, un moteur de recherche performant.
Chaque fiche décrypte l'action de communication selon plusieurs aspects : problématique, mise en œuvre, supports et évaluation.
2. Élargir ses horizons
Le benchmark est une source d’inspiration redoutable pour qui veut élargir sa réflexion ou développer sa créativité. Les campagnes sont classées par thème : logos et graphisme, marketing territorial, accompagnement à l’évolution des comportements, communication événementielle… Les dernières campagnes sont mises en avant pour être en résonance avec l’actualité du métier et valoriser les dernières tendances.
3. Soutenir la comparaison
Il ne s’agit évidemment pas de dupliquer telle ou telle bonne idée sans diagnostic pertinent de sa propre situation. L’essentiel est surtout d’apporter un appui à la décision pour se convaincre soi-même (les « petits poucets », communicants parfois isolés et multi-casquettes des petites collectivités, s’y retrouveront certainement) et convaincre les autres : DGS, dircabs, dircoms trouveront ainsi un moyen d’étalonner stratégie et actions de communication au regard de leurs ambitions pour leur territoire ou leur institution.
4. Améliorer ses actions et son organisation
Qui dit évaluation dit succès… et axes d’amélioration. Les campagnes et publications du benchmark ont fait l’objet d’évaluations précises partagées par leurs auteurs. Elles ont également été débattues et commentées lors des jurys du Grand Prix Cap’Com ou du Prix de la presse territoriale. Dans ce cas, elles sont complétées de l’avis des jurys. Une mine d’informations pour comparer avec ses propres résultats ou pour préciser ses propres indicateurs de réussite.
5. Partager, partager, partager
La philosophie du benchmark, c’est finalement le partage d’expérience au bénéfice du collectif. Campagne après campagne, publication après publication, le benchmark est un formidable outil d’amélioration collective. Avec un seul abonnement, vous bénéficiez d’un moyen de créer l’échange et le débat au sein de votre équipe ou de votre organisme, de partager ou découvrir de bonnes pratiques. Bon benchmark !
Trois questions à Andréane Lecarpentier, directrice formation et communication de Cap’Com
Le benchmark de Cap’Com est de retour. De quoi s’agit-il ?
C'est le résultat d’un lifting important apporté ces derniers mois à notre base documentaire : une sélection exigeante de ressources les plus pertinentes et actuelles. Le « nouveau » benchmark propose 300 campagnes de communication publique et publications territoriales, détaillées et classées par thème dans un espace en ligne régulièrement actualisé et enrichi.
Comment y accède-t-on ?
Il s’agit de ressources en ligne accessibles sur www.cap-com.org. Il faut souscrire à l’abonnement Cap’Com Plus. C’est un abonnement collectif : un seul abonnement pour un organisme, valable un an. L’avantage, c’est que l’on peut en faire profiter tout le service communication, mais également les personnes intéressées par les questions de communication : les élus, les chefs de projets, les correspondants de communication…
Le service existait déjà. Qu’est-ce qui a changé ?
Tout d'abord, nous l’avons resserré sur les questions de benchmark, car il y avait aussi des comptes-rendus d’événements, des fiches juridiques… Il fallait mieux ordonner pour recentrer sur le service rendu : le partage d’expériences et le décryptage de campagnes. Ensuite il a bénéficié de toutes les nouvelles fonctionnalités du site internet de Cap’Com : un classement par thématiques, un moteur de recherche pertinent, une plus grande lisibilité. Nous intégrons plus de contenus multimédias.
Le benchmark de la communication publique et ses exemples de fiches ci-dessous
