Aller au contenu principal

«  Et si tu écrivais pour Point commun ? »

Publié le : 14 décembre 2021 à 16:07
Dernière mise à jour : 4 janvier 2022 à 08:31
Par Lucille Roué

Quelques jours après le Forum 2021 de la communication publique, une communicante nous livre des extraits de son (presque réel) carnet de bord.

Dans les mêmes thématiques :

Par Lucille Roué, responsable de la communication de la ville de La Tour-du-Pin.

Jeudi 9 décembre 2021 / 16h01 / TGV Rennes-Lyon

Cher carnet,
Je suis allée ce matin, au cours de la 3e journée du Forum de Rennes, à la rencontre des représentants de Cap’Com sur le stand des conseils à la coque. Et c’est au détour d’une conversation avec Andréane Lecarpentier et Bernard Deljarrie au sujet des actions à mener pour contribuer au réseau que le sujet a été évoqué. Et si j’écrivais pour Point commun ?

Lectrice (presque toujours) assidue de « l’infolettre », comme le dit si bien Yves Charmont, j’aime voir, tous les quinze jours, se mettre en surbrillance cette ligne dans ma boîte de réception. Un message attendu, promesse de bons mots, d’opinions pertinentes et d’exemples inspirants. Je prends plaisir à retrouver les billets réguliers de certains contributeurs, leur style sympathique ou incisif. Derrière ces textes, des femmes et des hommes que j’ai croisés au fil des rencontres du réseau. Ce qui m’amène à me reposer LA question : en effet, pourquoi ne pas écrire moi aussi ? Mais en même temps, qu’aurais-je à dire à mes homologues communicants publics aguerris alors que je ne suis qu’un petit poucet ? Comment être originale dans un monde où beaucoup ont déjà une empreinte, un style bien à eux ?

Alors que je m’interroge en boucle, je regarde par la fenêtre de mon TGV qui me ramène à Lyon, fatiguée mais heureuse après trois jours de Forum à Rennes, et je laisse aller mes pensées…

Au-delà du titre Point commun si bien choisi, c’est l’amour des mots qui réunit à la lecture de cette lettre bimensuelle la graphiste d’un département et le dircom d’une petite commune. C’est aussi l’envie d'exprimer son opinion sur le métier, d’échanger sur de nouveaux courants ou de partager des initiatives concrètes et innovantes avec nos pairs… Et si ce qu’il fallait retenir de ma réflexion ferroviaire était que chacun peut apporter sa pierre à l’édifice, quel que soit son employeur, sa place dans l’organigramme ou son ancienneté dans le métier ?

Cher carnet, au diable les complexes ! Oui, j’aime écrire, j’ai envie de m’investir davantage et je ressens le besoin de le faire en apportant ma patte. Ils n’avaient qu’à pas me proposer, tant pis pour eux ; j’enverrai un texte lundi, et pi c’est tout !