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Le travail de fourmi des communicants publics de petites collectivités

Infographie

En apparence minuscules, les communicants publics en poste dans les petites communes et intercommunalités en France font preuve d'une incroyable résistance au travail et à l'effort, d'une capacité d'adaptation sans limite et d'intégration dans la fourmilière de la communication publique.

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Mille fonctions du communicant de petite collectivité

Un rôle essentiel dans l'écosystème

Membre de la famille des 25 000 communicants publics, l'espèce forme une colonie d'environ 6 000 spécimens, en développement continu. Elle est un territoire d'observation et d'expérimentation pour les questions de communication de proximité et d'intérêt général.

Une espèce autonome

Les communicants publics en petites collectivités ont l'habitude de travailler dans des équipes réduites. Des prestataires externes viennent compenser leur faible effectif ou parfois compléter leurs compétences.

Une morphologie fine et agile

Si la fourmi déploie une force incroyable avec seulement deux mandibules et un abdomen solide et resserré, il en va de même pour les communicants publics : une formation initiale solide et des budgets limités.

1 000 fois son poids sur le dos

Les missions des communicants publics sont nombreuses et diffèrent peu de celles confiées aux collectivités et administrations plus grandes : les relations de proximité, la polyvalence technique et stratégique, et l'adaptation aux réalités du terrain sont leur force.

En soutien à la reine

Le travail des communicants publics en petite collectivité se développe dans une très grande proximité avec les élus : le ou la maire, le ou la président·e d'intercommunalité. Ils sont placés en relation directe et dans un échange quotidien.

Un travail de fourmi

Les communicants animent seuls une large panoplie d'outils de communication pour diffuser efficacement les informations locales.

Une grande capacité d'adaptation

Tout comme les fourmis, et dotés de peu de moyens, les communicants démontrent une grande plasticité face aux enjeux sociaux qu'ils observent. Ils sont particulièrement sensibles aux perspectives de la transition écologique, la défiance des citoyens envers les institutions, la crise sanitaire, la situation politique.

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