Selon l’étude Presse territoriale 2017, 2/3 des magazines des collectivités ont mis en place une nouvelle formule depuis les dernières élections municipales.
Les dircoms sont-ils de bons managers de leur équipe ? À l’heure de la baisse des moyens et des nombreuses réorganisations des collectivités, la question managériale prend une place croissante dans les services communication. Plusieurs d’entre-eux ont sollicité Cap’Com pour être accompagnés dans la structuration et l’organisation des équipes. Alain Doudiès, qui a conduit ces formations, nous livre son regard sur la place du management dans la communication territoriale.
[ Juin 2017 ] « Excusez-moi si je vous demande pardon, mais si ça continue, faudra que ça cesse ! ». Empruntant à Alexandre-Benoit Bérurier une de ses célèbres répliques (ici, une référence que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître), du moins une de celles que je peux publier sur un site public qui se veut d’une certaine tenue, je veux dire ma vigilance du moment.
Construits sur l’information rédactionnelle, les sites internet de collectivité ont progressivement changé pour répondre aux véritables attentes de leurs utilisateurs et devenir des supports de renseignement et de services en ligne. Où en êtes-vous dans la galerie de l’évolution ?
En quelques années, le pays Charolais-Brionnais a réussi à faire évoluer l’image d'Épinal du « trou où il ne se passe rien » qui lui collait à la peau. Ce territoire rural composé de 5 intercommunalités, 129 communes et 8 offices de tourisme a su fédérer l’ensemble de ses acteurs institutionnels autour d’une démarche de marketing territorial. Sa recette pleine de bon sens : co-construire une identité rurale partagée, puis miser à la fois sur les outils de communication communs et sur les échanges, les rencontres et l’animation avec les différents acteurs pour qu’elle soit portée par tous.
"M" c’est le nom de la publication mensuelle de la ville de Massy récompensée par le Grand Prix 2017 de la presse territoriale ce jeudi 22 juin. Un concentré de tout ce qu’on aime voir dans la presse territoriale d’aujourd’hui : des habitants au cœur du projet éditorial, une juste articulation entre print et digital dans un support pensé pour renforcer le lien entre la collectivité et ses administrés. De l’audace et de la créativité qui prouvent que l'on peut encore innover sur le papier.
L'Arces a remis début juin ses 8èmes Prix de la communication de l’enseignement supérieur. Représentante de Cap'Com au sein du jury, Sandrine Hector, responsable relations publiques et communication interne à la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, partage avec nous les tendances à travers un focus sur quelques projets lauréats.
Quand Roubaix s’efface derrière le contenu et emprunte les codes des magazines de société, ça donne « Alternatif ». Une initiative éditoriale en marque blanche bien nommée qui donne à voir une autre presse territoriale, audacieuse mais toujours au service du territoire.
Il scrute déjà Lille, Lyon et Toulouse, il arrivera sur Nantes en septembre. Il vise Montpellier, Marseille, Bordeaux, Strasbourg, Rennes et Nice. Le journalisme d’investigation débarque dans les métropoles.
Ils étaient plus d’une quinzaine d’animateurs de Conseils de jeunes. Une journée durant, ils ont échangé sur les actions de communication que mènent dans les collectivités locales ces instances de démocratie participative. Car les quelque 2 500 conseils et démarches de jeunes et d'enfants aspirent à mieux communiquer : l’un des quatre leviers majeurs de la participation identifiés à travers les 25 propositions dévoilées par l'Anacej lors de son congrès national le 30 octobre dernier.