Chaque quinzaine la communication publique se fait croquer dans l'infolettre Point commun. (Re)découvrez ces dessins.

Il s'agit de la cinquième édition de l'étude barométrique de connaissance et reconnaissance de la fonction communication dans les collectivités territoriales et institutions publiques.

Qui aurait cru qu'en 2025, à quelques semaines de la période préélectorale et à quelques mois des élections municipales, des villes oseraient changer de logo et d'identité graphique ? Le risque est pourtant réel que cette nouvelle image soit « défaite » après seulement quelques mois de déploiement. Et pourtant, au moins 30 villes ont présenté leur nouveau logo depuis janvier 2025, et il reste encore quelques semaines avant la période préélectorale. Qui sera la dernière à se lancer ? En attendant voici une sélection des créations de cette fin de mandat.

Fruit de la capitalisation des expériences au sein de l’Association nationale des conseils d’enfants et de jeunes (Anacej), ce guide méthodologique livre des conseils très pratiques ainsi que des exemples concrets pour communiquer efficacement envers et avec la jeunesse.

Il y a la publicité et il y a la communication, dont la communication publique pourrait être une forme plus exigeante et responsable… ou alors un grand tout. Nous avons posé la question à Assaël Adary, coprésident de l’Association nationale des communicants et DG d’Occurrence-Groupe Ifop, qui défend une vision transversale de nos métiers, avec des valeurs et des enjeux communs. Son approche œcuménique et sincère en fait un défenseur de la communication au sens large. Avec des convictions chevillées au corps, un sens du collectif et une conscience, il regarde avec beaucoup d’intérêt tout ce qui vient de la communication publique.

« Faire revenir »… Faisons donc un focus sur l’un des enjeux des stratégies d’attractivité. Pourtant peu visible sur les sites de marketing territorial, cet objectif semble néanmoins être dans toutes les têtes. Pour autant, l’écueil serait de s’appuyer sur des idées reçues, notamment celles qui consistent à croire que tous les expatriés veulent revenir sur leurs terres et que ce sera très facile avec eux, car ils auraient leurs racines dans la peau. La réalité est sans doute un rien plus complexe.

Voilà deux mots qui sont presque devenus des mantras : transparence et authenticité. Dans la reconquête de la crédibilité de la parole publique, on nous rappelle que le citoyen attend de nous que tout soit clair, limpide, sincère, « vrai ». Et c’est valable en interne comme en externe, la frontière entre les deux n’existant presque plus dans certains cas. Mais cette injonction à la transparence totale et à l’authenticité absolue ne finit-elle pas par devenir… paradoxale ?

La dernière campagne d’affichage dans l’espace public de Santé publique France fait mention des IST. Le sigle est-il compris de tous ?

Du 12 au 13 mars 2025, le Club de Venise a réuni à Londres les représentants de la communication publique européenne pour réfléchir ensemble à un défi commun : comment communiquer en temps de crise quand la vérité elle-même est devenue objet de controverse ? Aux côtés d’universitaires, de diplomates, de journalistes et de hauts responsables institutionnels, Natalie Maroun est intervenue pour le réseau Cap'Com dans la session « Se préparer à la crise », pour partager son constat : on ne répond plus aux crises comme hier. Elle partage ici les grandes lignes de son intervention.

Le CNRS publie une nouvelle édition de son guide qui aide les scientifiques à s’exprimer dans les médias. Des conseils et des recommandations utiles à tous.