Le poids des mots, c’est aussi leur légèreté, leur poésie propre, leur pouvoir imaginaire. C’est Jean Abbiateci, qui connaît bien la compublique, qui s’y était attaché, comme à des nuages par la fenêtre en des temps anciens, ceux du confinement. Quel plaisir de feuilleter à nouveau ce glossaire improbable qui soigne, dorlote, cultive, bichonne nos neurones fatigués par l’hyperréactivité et l’utilisation de mots trop simples et efficaces !