Les humeurs, points de vue et prospectives autour de l'actualité de la communication publique de tous les communicants publics qui ont quelque chose à dire ! Pour envoyer votre contribution, c'est par ici.
Elles étaient sur les starting-blocks, avant de se rétracter : plusieurs collectivités hésitent aujourd’hui à se lancer sur TikTok. Le réseau social chinois est menacé d’interdiction de toute part.
« La communication doit se préoccuper du récepteur au moins autant que du message et du média. » C’est une des conclusions du dernier Baromètre de la communication locale, paru il y a quelques mois. « Avec les datas, les CRM et l’intelligence artificielle, on dispose aujourd’hui de technologies éprouvées que les communicants publics gagneraient à apprivoiser pour s’adresser à chaque citoyen avec des messages personnalisés », affirme Christian de La Guéronnière, directeur de l’agence Epiceum et un des auteurs de ce Baromètre. Le ciblage en communication publique, on en parle beaucoup, mais on le pratique peu. Pourquoi ?
Au-delà de ce petit jeu, curiosité et circonspection à l’égard de cette machine. Et beaucoup de questions sur l’« intelligence artificielle » pour la société… et pour nos métiers.
Désormais, le mois de mars se pare de rose. Ironique tellement c’est genré, mais passons : en mars, les droits des femmes et leurs lacunes sont sous les projecteurs. Plateaux télé, émissions en prime time, matinales, campagnes choc, discours léchés, visuels impactants. L’artillerie est de sortie, car on sait bien que c’est éphémère : déjà se profile le mois d’avril.
Tu m'as ouvert l'esprit, tu as titillé ma curiosité, et parfois fait passer des nuits blanches collé à toi. Tu m’as énervé et tu m'as rendu accro. Mais là, ça n'est plus possible. J'ai envie de t'abandonner. Tu deviens infréquentable. Et je te suis désormais de plus en plus infidèle.
Une réforme institutionnelle est en préparation. Avec des effets probables notamment sur les départements et les régions… et, à coup sûr, sur le champ d’action des communicants.
L’apostrophe publique vers le président de la République ou le maire de Montpellier peuvent troubler le cérémonial. Un peu. La démocratie trouve-t-elle bien son compte dans ces interventions inopinées de citoyens en direction d’un élu ?
Vraie, évidemment ! À condition d’être prêt à entendre les réponses. Cela paraît élémentaire dit comme ça. Oui, mais quand on prend son job à cœur… ça peut remuer un peu.
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Tandis qu’avance, à La Poste, à la Caf et ailleurs, l’aveugle rouleau compresseur de la dématérialisation, les freins à l’utilisation du numérique persistent.
Attention, ceci n’est pas une carte de vœux.
Nous y sommes : le début du mois de janvier sonne le retour de nos meilleurs vœux adressés à chaque personne croisée, en introduction de chaque mail ou coup de fil. C’est joyeux, ça provoque des sourires, de la sincérité, de la bienveillance qui n’engage à rien. Les cartes de vœux s’affichent sur LinkedIn et dans les boîtes mail au fur et à mesure que les boules du sapin de Noël repartent dans les cartons. C’est le premier marronnier de l’année !
Écoutant religieusement l’émission « Very Good Trip » (France Inter), j’entends Michka Assayas évoquer le syndrome de l’imposteur de Christine McVie, chanteuse et inspiratrice de Fleetwood Mac (je vous laisse découvrir). Ce handicap invisible l’a amenée, à son début de carrière, à se mettre totalement en retrait pendant un an et à abandonner (heureusement provisoirement) la musique. Bon sang, m’écriai-je, mais nous ne sommes pas seuls !
« Celui qui dominera l'intelligence artificielle dominera le monde. » Ce n’est pas moi qui l’affirme, mais Vladimir Poutine. Et vous savez quoi ? Après avoir interrogé l’intelligence artificielle la plus puissante du monde sur l’avenir de la communication publique, elle a formulé une réponse cohérente. Et là des frissons me parcourent l’échine.
Hôtel de ville, dernière semaine de décembre. Il règne un silence monacal dans cet antre de la laïcité. Deux ou trois habitants viennent non pas s’inscrire sur les listes électorales à la dernière minute comme autrefois, mais retirer leurs cartes d’identité attendues depuis si longtemps. Et encore ce n’est pas la foule des grands jours. Alors on bosse dans le calme. Un calme dingue où je me sens obligée de mettre de la musique, pour ne pas trop m’habituer.
Je ne sais pas pour vous mais pour moi, depuis deux ou trois ans, rien ne se passe comme prévu. Alors pour bien démarrer cette nouvelle année, c’est décidé : plus de tableau de bord, plus de kpi, plus de plan de com formalisé. Je vais m’en remettre à la seule chose immuable en ce monde, la seule science exacte pour préparer mon avenir professionnel : l’astrologie. Qui sait, l’anagramme de mon prénom est peut-être le signe que je dois devenir la nouvelle Madame Yrma.
L’Observatoire des inégalités vient de publier son nouveau « Rapport sur la pauvreté en France », un utile éclairage sur la situation d’une partie des habitants auxquels nous sommes censés nous adresser.