Auditionné par la commission d'enquête sénatoriale sur Lubrizol, l'Association des villes pour la maîtrise des risques technologiques majeurs (Amaris) a déclaré que la communication exclusivement descendante, incarnée par le communiqué de presse ou le numéro vert préfectoral, est, à l'heure des réseaux sociaux, dépassée face aux risques industriels.