Ni idiots confiants ni complices, sans angélisme et sans parti pris, sans nier les liens entre presse et grands groupes privés mais sans voir du complot partout, et si les communicants publics rappelaient qu’il n’existe pas de société de liberté (au moins depuis le 28 juillet 1881) sans liberté de la presse ? Accessoirement, en redisant aussi qu’on a la presse que l’on mérite. Et en reconnaissant que du côté camouflage ou distorsion de la réalité, nous n’avons que peu de leçons à donner (on ne te dit pas merci Edward Bernays).