L’expérimentation du « Oui pub » a pris fin et aucun projet de loi ne viendra concrétiser ce dispositif. Le gouvernement, au regard du rapport d’évaluation, enterre cette proposition issue de la Convention citoyenne pour le climat, bien que « les représentants des territoires pilotes et leurs habitants soient plutôt satisfaits ». Pourquoi cette décision ?

D’un côté, les collectivités locales construisent des stratégies de marketing territorial pour jouer sur leur attractivité et le sentiment d'appartenance à leur territoire. De l’autre, les marques commerciales construisent un imaginaire territorial par des démarches publicitaires qui, ces dernières années, se sont saisies du « local ». Ne faudrait-il pas prendre en compte ces imaginaires territoriaux sécrétés par les marques ?

Pour inciter les 11-25 ans à répondre à un questionnaire sur leurs envies et leurs besoins, la ville de Montoir-de-Bretagne en Loire-Atlantique lance une campagne de communication incarnée par ses seniors.

La question de l’éco-anxiété est omniprésente dans les médias, et des travaux universitaires existent sur le sujet. Mais la publication ce mois-ci de l’étude « Éco-anxiété en France » tente de mieux comprendre le phénomène et conduit à lister des actions que devrait mener la communication publique pour apaiser l’éco-anxiété.

En interne comme en externe, les communicants déploient des actions parfois innovantes pour répondre au besoin de reconnaissance des agents, aux difficultés de recrutement et au défi d’attractivité des métiers du service public. S’éloignant des discours institutionnels classiques, ces dispositifs s’appuient sur la valorisation des agents et sur une approche participative pour redonner du sens à l’engagement dans le service public. Retour sur six expériences réussies.

À Montluçon, le service communication de la ville et de l’agglomération a perfectionné le processus de remontée d’informations des services. Son responsable, Sylvain Claire, nous parle de cette évolution et d’autres initiatives de sa collectivité dans ce dernier épisode de l’enquête Cap’Com consacrée à l’organisation et au fonctionnement des services com.

De l’aveu même de son auteur dès les premières pages, « l’objectif de ce livre est plutôt de partager des réflexions après trente années d’observation ». C’est un ouvrage de la maturité : d’une discipline – celle du marketing territorial du haut de ses près de trente années depuis les marques précurseuses I♡NY ou Glasgow’s Miles Better – et d’un professionnel – Marc Thébault – qui a pratiqué l’attractivité territoriale autant que la communication publique, et qui nourrit son analyse de ce double regard.

En début d’année, les experts ès calendriers avaient annoncé un cru 2025 particulièrement bon pour optimiser ses congés : « Posez 25 jours pour en obtenir 59 ! », « Un jour férié acheté, un 2e jour offert ! ». Et nous y sommes : succédant aux vacances d’avril, ce mois de mai aux multiples ponts engloutissant les vendredis est enfin arrivé ! S’il y a de quoi se réjouir (qui est contre un peu de repos sous la pluie printanière ?), cet éphéméride favorable entraîne d’autres conséquences un peu moins réjouissantes.

L’usage massif des réseaux sociaux sur nos smartphones a permis une ouverture au monde inégalée, quitte à nous couper physiquement de nos proches, le nez sans cesse collé à notre écran. L’usage de l’IA va-t-il bientôt nous couper de notre cerveau ?

Le 7e numéro des Cahiers de la communication publique arrive en ce début mai dans quelque 10 000 collectivités et organismes publics. Cette publication annuelle du réseau professionnel, à la fois reflet du métier et référence de l’année écoulée, contribue année après année à faire passer le message : « La com n'est pas un gros mot, c'est un grand mot. »